Suite de Zélos.

Zélos arriva dans sa suite ; elle avait un parquet blanc, et des murs tapissés de rouge avec des fils d'or incrustés dans la tapisserie. Le soleil y pénétrait très bien, surtout l'après-midi. Il y avait à droite de la porte, un chat en statue(qui porte bonheur) ; au fond, son lit baldaquin avec des draps blanc comme la soie. Une table était disposée au milieu de la pièce, un tapis combait l'espace vide de gauche. Zélos déposa son sac sur la table, puis s'allongea dans son lit. Il lui suffit de fermer ses paupières pour s'endormir.

Quelques heures plus tard, Zélos se réveilla. La chambre était plongée dans la pénombre, il n'arrivait même pas à distinguer sa propre ombre. Il se leva et sortit.

Kozi entra dans la suite de Zélos en frappant avant et deposa son épée sur le lit. Puis ressortit de cet endroit pour le moins jolie.

Zélos rentra dans sa chambre pour le moins frustré et énervé par le monde d'en bas, lui qui à toujours aimé tout les peuple. Il remarqua son épée sur son lit, il eut un sourire pour maître Kozi, dont il supposait qu'elle venait de sa part, et la prit fermement. Elle rougoiya un peu au contacte de sa main, et sa lumière, petit à petit s'éteigna, pour qu'elle puisse redevenir terne. Il la rengea dans son fourreau, qu'il avait gardé. Il se retourna, et regarda sa chambre. Avec tout ces évènements, il avait presque oublié que bientôt aurai lieu l'élection du Séraphita.

Devrais-je me proposer? Les démons s'activent, ça se sent...leur aura se fait plus dense ; peut-être ont-t-il élus leur chef.....se serait un désastre. Si la guerre menace, il faudrait au plus vite ralier des causes, les anges ne sont pas assés.........quelqu'un de diplomate, tout en étant fort au combat! Non mais est-ce que je m'entend? qu'est-ce que je suis en train d'imaginer? Le ciel est imprenable pour les démons! Zélos s'allogea sur son lit, un peu soulagé, mais pas totalement. Il faut que j'en parle à maître Kozi!

Plus perturbé qu'avant, Zélos sorti de sa chambre en claquant la porte, ce qui fit sursauter les quelques passants.